Abstract: | Depuis quelques années il est apperu que la vie économique des zones urbaines en Afrique noire participe aux activités informelles, dont la nouveauté est double: l'accroissement à un rythme très élevé et la prise en compte par la réflexion théorique sur le développement. L'auteur aborde d'une part l'échec des politiques de développement depuis 1960 et la part croissante des activités informelles au sein de l'explosion urbaine; d'autre parté la divergence au niveau de l'analyse économique des activités informelles urbaines. Les différents courants de pensée permettent de réduire le champ analytique à deux grands types d'approche: la théorie de la petite production marchande et la théorie des activités informelles. Notes. |