Abstract: | Le présent article n'est pas une communication scientifique mais il s'agit d'une contribution à une conférence internationale d'éditeurs et de rédacteurs en chef, qui relevait autant ou plus de la typographie que de la linguistique. Cette rencontre à caractère technique, organisée par l'UNESCO en 1978, n'a finalement pas pu aboutir à un accord concrétisé par des recommendations normatives. Les organisateurs avaient sans doute pensé que la participation de linguistes permettrait la formulation de recettes générales, d'application panafricaine, sinon universelle: confiance peu justifiée, ne fût-ce qu'en raison des querelles d'école qui divisent cette discipline autant que les autres branches des sciences humaines. Dans le présent article l'auteur esquisse les problèmes de toponymie à trois niveaux: pays, villes et régions, accidents de terrain et lieux-dits. Notes. |